Le 20 franc Coq Marianne, emblème de la Troisième République, a été frappé entre 1899 et 1914, avec d’importantes séries de restrikes entre 1951 et 1960. Son histoire reflète des évolutions politiques et économiques majeures, rendant chaque année de frappe unique. Découvrez les dates précises pour mieux comprendre la rareté et la valeur de cette pièce en or incontournable.
Années précises de frappe de la pièce 20 francs Coq Marianne : chronologie et refrappes officielles
Dès l’apparition des pièces, la période des années de frappe du 20 francs coq marianne constitue une référence centrale pour identifier et estimer cette monnaie emblématique. Deux grandes périodes structurent l’histoire de fabrication : de 1899 à 1906, avec l’inscription de tranche « DIEU PROTÈGE LA FRANCE », puis de 1907 à 1914, affichant « LIBERTÉ ÉGALITÉ FRATERNITÉ ». Chacune correspond à des évolutions majeures du contexte français et à un changement notable d’allégorie républicaine.
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Le tirage officiel initial se répartit ainsi : environ 43,34 millions de pièces frappées lors de la première tranche (1899-1906) et près de 74,4 millions durant la seconde période (1907-1914). Ces séries sont particulièrement distinctes pour les collectionneurs, à la fois par leur contexte historique et leur rareté relative sur le marché actuel des pièces anciennes françaises.
Vient ensuite la période des refrappes, dite « refrappe Pinay », entre 1951 et 1960 : seules les millésimes de 1907 à 1914 sont alors utilisées pour ces nouvelles émissions. Près de 37 millions de pièces sont alors produites à partir d’or d’investissement récupéré, contribuant à une offre abondante de pièces en état quasi neuf, très recherchées pour leur pureté et leur aspect impeccable.
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Pour une vision synthétique, voici la chronologie des principaux millésimes :
- 1899 à 1906 : frappes d’origine avec inscription religieuse ;
- 1907 à 1914 : frappes avec devise républicaine, puis réutilisation de ces millésimes pour toutes les refrappes de l’après-guerre ;
- 1951-1960 : refrappes officielles portant exclusivement les années 1907 à 1914, reconnaissables à leur état exceptionnel.
Ce découpage historique aide à identifier l’authenticité et la provenance des pièces, en évitant les confusions fréquentes entre frappes d’époque et rééditions plus récentes.
Histoire, fabrication et identification des pièces de 20 francs Coq Marianne
Contexte historique : symbole républicain et évolution du design face/revers
La histoire pièce 20 francs marianne débute à la fin du XIXe siècle, au cœur de la Troisième République. La Marianne, figure de liberté, est représentée sur l’avers, arborant un bonnet phrygien et une couronne de chêne. Symbole de la République, ce design remplace progressivement d’anciens motifs monarchiques. Sur le revers, le symbole coq gaulois monnaie française incarne la fierté nationale entourée de la devise “Liberté Égalité Fraternité”. L’évolution design monnaies françaises s’accentue avec la modification de l’inscription de la tranche, initialement “DIEU PROTÈGE LA FRANCE” (1899-1906), puis “LIBERTÉ ÉGALITÉ FRATERNITÉ” à partir de 1907, révélant la sécularisation de la société.
Données techniques : poids, diamètre, alliages utilisés, différences entre frappes originales et refrappes
Les caractéristiques pièce coq marianne sont précises : poids de 6,45 g, diamètre de 21 mm, composition à 90 % d’or pur (alliée à du cuivre). La typologie pièce coq marianne distingue les frappes originales des refrappes “Pinay” (1951-1960), qui se reconnaissent par leur teinte plus rouge due aux variations d’alliage. Ces refrappes restent dans l’esprit des collection pièces anciennes françaises, mais se différencient par la empreinte coin monnaies et une conservation presque parfaite, car rarement en circulation.
Critères d’authenticité et méthodes d’identification (tranche, couleur, état de conservation)
L’identification pièces 20 francs s’appuie sur l’examen de la tranche gravée, la couleur – pouvant varier du jaune au rouge –, et l’état de conservation. Les collectionneurs pièces françaises utilisent la consultation de catalogues, l’observation de l’empreinte coin monnaies, et la vérification de l’année comme guides fiables. La collection de ces pièces 20 francs coq marianne s’accompagne d’une attention particulière à la patine et à l’absence de traces de nettoyage, garanties de valeur et d’authenticité.
Valeur, marché et intérêt pour les collectionneurs et investisseurs
Cote actuelle, rareté relative selon les millésimes et état de conservation
La valeur d’une pièce 20 francs Coq Marianne dépend principalement de son état de conservation, de la rareté de son millésime et de l’évolution du marché des monnaies anciennes. Les collectionneurs pièces françaises recherchent surtout les exemplaires des années 1899 à 1906 avec la mention « DIEU PROTÈGE LA FRANCE », souvent moins courants que les refrappes Pinay datées de 1907 à 1914. Pour l’estimation, les guides collectionneurs et les catalogues monnaies considèrent également les défauts d’usure : une pièce en superbe état (SUP, SPL ou FDC) atteindra une cote pièces anciennes supérieure, alors que les exemplaires usés ont une valeur proche du cours de l’or.
Positionnement de la 20 F Coq Marianne sur le marché : liquidité, fiscalité, popularité chez les investisseurs
Sur le marché monnaies anciennes, la 20 francs Coq Marianne est appréciée tant pour son accessibilité que pour sa liquidité. Sa valeur suit le cours de l’or, mais son intérêt réside aussi dans la facilité de vente pièces 20 francs anciennes en France, bénéfique pour tout investissement monnaies anciennes. D’un point de vue fiscal, les atouts demeurent : exonération de TVA (sous conditions) et régime favorable à la revente, ce qui attire collectionneurs pièces françaises et investisseurs.
Conseils de conservation, achat/vente et pièges à éviter
Pour garantir la valeur des pièces 20 francs Coq Marianne, la conservation pièces anciennes s’impose : privilégier étuis individuels, éviter tout nettoyage agressif, et solliciter un guide collectionneurs pour l’identification pièces 20 francs authentiques. Les faux monnaies circulent ; le guide achat pièces anciennes recommande d’acheter auprès de professionnels fiables ou en salle d’enchères reconnue. En suivant ces recommandations, l’investissement se fait en toute sécurité.
